César revendique ses origines gipsy d’Irlande, il sort des sentiers battus et explore les limites extérieures du domaine. Je ne sais pas si l’herbe est plus verte chez les voisins, mais elle est définitivement meilleure dans les ravins !
.
Quand tes chevaux sélectionnent l’herbe qu’ils mangent, forcément, il reste des touffes qui grandissent, délaissées… et comme tu as appris de la saison précédente qu’il ne faut pas se laisser déborder par l’herbe (ça pousse vite l’herbe…), bah forcément : tu décides de couper l’herbe que les chevaux ne mangent pas…
Homme de peu de foi… c’est forcément une fois coupé que cette herbe devient précisément irrésistible et que tes chevaux se jettent dessus !
Première chute… ça devait arriver, et du haut de mes 0 années d’expérience, ben forcément, c’est moi qui ouvre le bal 😉
Contexte : je papillonne sur César (j’étais sur Cody avant), pas trop en selle, rênes longues, je cherche un peu mon équilibre. Phœbe part au galop, et César part en trombe… moi je n’ai pas le temps de le rattraper avec mes rênes toutes lâches (j’essaie la voix, vous entendrez), il tourne pour suivre Cody, et c’est la chute !
Rien de grave, même pas mal.
Vue de l’autre côté (malheureusement, la caméra de surveillance avec son temps de déclenchement au mouvement n’a capté que l’atterrissage…)
Oh là, là, en effet !
Deux selles… avec des arçons spéciaux extra extra large… voilà que ça prend d’équiper des petits gros Irlandais.
Parce que c’est humide, parce que les chevaux piétinent, parce qu’on veut notre 5e étoile Michelin de l’hébergement équin ; on agrandit le paddock.
